L’avis d’un grimpeur :
Le départ, identique à celui de Boufadou, ressemble plus à de l’alpinisme qu’à de l’escalade. La voie commence donc réellement après les 10 premiers mètres. Quelques mouvements sur bidoigts, pauvres en prises de pieds, amènent au crux, qui commence par un mousquetonnage sévère suivi de trois violents mouvements avec une belle lolote. On arrive sur une bonne prise et les derniers mètres ne posent guère de problème.